À l’imparfait du subjectif
« Sa vie se racontait dans ma tête à l’imparfait, cette vitre de musée des héros littéraires. » (Alexandre Vialatte, Les Fruits du Congo, 1951)
(La vie est toujours beaucoup plus belle du haut d’une borne kilométrique.)
« Sa vie se racontait dans ma tête à l’imparfait, cette vitre de musée des héros littéraires. » (Alexandre Vialatte, Les Fruits du Congo, 1951)
(La vie est toujours beaucoup plus belle du haut d’une borne kilométrique.)