À l’imparfait du subjectif

« Sa vie se racontait dans ma tête à l’imparfait, cette vitre de musée des héros littéraires. » (Alexandre Vialatte, Les Fruits du Congo, 1951)

Vialatte prend de la hauteur

(La vie est toujours beaucoup plus belle du haut d’une borne kilométrique.)

Posté le: novembre 26th, 2009
Catégorie: Pêle-mêle
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