The Moustache Day
Demain, nous sommes le vendredi 20 août.
Demain, c’est la JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA MOUSTACHE. Enfin, surtout parmi les gens de mon travail, parce qu’on n’a pas trop contacté le concert des nations pour convenir d’une date quoi. Mais tu peux te joindre si tu veux, on n’est pas sectaire.
Pourquoi demain ? Pourquoi une moustache ? Ce serait trop long à t’expliquer maintenant, j’écris ce billet sur un coin de table (enfin façon de parler hein, les extrémités de mes meubles ne disposent pas encore de clavier tactile, façon iCommode ou iGuéridon) pour que tu puisses prendre tes dispositions pilositaires en vue de demain.
Pour ces demoiselles, il est envisageable de commuer la moustache en une paire de couettes. Là encore, le pragmatisme doit faire autorité.
Je reviens demain pour t’expliquer de quoi il retourne. Et ce, impeccablement moustachu, comme il se doit.
Catégorie: Pêle-mêle
Tags: journée internationale de la moustache
Commentaires: 6 Comments.
Demain est passé depuis hier, et toujours rien. Le mépris dans lequel tu tiens ton lectorat est diablement révélateur. “Nan, ce n’est pas cool.” Sans doute n’aurai-je pas la place de détailler ma légitime colère: tu as dû opter pour un format limitant le métrage des commentaires. Mais je saurai trouver un autre canal de discussion pour te faire connaître l’ampleur de mon courroux. Et oui, y a prescription sur notre cochonnage d’absinthe. Mon salut sur toi néanmoins
Tu es un infâme. J’invite les gens à venir te le signifier sur ton bloûg à toi (http://12mai1976.blogspot.com/).
Le monde a le droit de savoir, et tu ne nous dis rien. déception, je suis.
J’avoue, j’ai un peu tardé. Toutes mes confuses.
M’insurge: à moi l’infâme, à l’Auvergnate tes confuses lors même que nos requêtes sont identiques ?
Ulcéré par ce comportement à deux vitesses, je m’en vais te rosser grave ta médiocre pilosité. Car non, je ne suis pas un commentateur de seconde zone, car oui, j’ai les mêmes droits que l’Auvergnate, not but !
Quand l’un fut “courroux”, l’autre fut “déception”. D’où une bien légitime différence de traitement.
Reçois néanmoins mes confuses itou, allez, enterrons la stache de guerre.